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Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau

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1Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau Empty Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau Mer 23 Mar 2011, 9:34 am

Admin


Admin


Début des Confessions : La profession de foi

"Ma naissance fut le premier de mes malheurs" ; "Je naquis infirme et malade" ; "J'étais né presque mourant" ; "J'apportais le germe d'une incommodité que les ans ont renforcée".
La mère de Jean-Jacques Rousseau est décédée à sa naissance, il a été élevé par une sœur de son père : "Chère tante, je vous pardonne de m'avoir fait vivre."

Justification de l'écrit : se justifier, tout dire. Voir le lexique : "Trompette du jugement dernier"… "souverain juge… Je me suis montré tel que je fus…"


1712 – Né en 1712, le 28 Juin

Père : Isaac Rousseau, horloger, issu d'une famille de 14 enfants.
Mère : Suzanne Bernard, d'une famille plus riche.
Formation du couple parental dès l'enfance, modèle qui sera repris dans L'Emile.
Neveu de Gabriel Bernard. Les frère et sœur de ses parents se sont mariés ensemble et ont donné un cousin à Jean-Jacques, avec lequel il a donc des liens privilégiés.

La première enfance :
"J'ignore ce que je fis jusqu'à 5 ou 6 ans", "Je ne sais comment j'appris à lire"
Jean-Jacques lit des romans laissés par la mère, donc destinés à des adultes, ce qui établit une intimité particulière avec le père. Lecture passionnée.
=> "J'acquis une intelligence unique sur les passions" et "se forma cet esprit libre et républicain, ce caractère indomptable et fier".

Evocation de son frère :
"J'avais un frère plus âgé que moi de 7 ans". Ce frère est dépeint comme un libertin. Rousseau pense que c'est parce que ce frère a été négligé à cause de lui.
Le frère disparaît de la maison et Jean-Jacques se trouve enfant unique.
Retour sur sa personnalité : se dit un enfant "normal" : polisson, parfois menteur, capable de méchantes farces (anecdote de la marmite de Mme Clot, dans laquelle il a uriné).

Première rupture :
Suite à une querelle avec un M. Gautier, capitaine en France, le père de Jean-Jacques Rousseau quitte Genève. Jean-Jacques se trouve placé sous la tutelle de son oncle Bernard. Heureux souvenir de la présence et de la douceur de sa tante, à qui il dit devoir son goût pour la musique.


1722 – Mis en pension avec son cousin chez M. Lambercier

A Bossey
* Episode de la fessée (Mlle Lambercier est la sœur de M. Lambercier).
* Episode du peigne cassé.
* Episode de la plantation du saule, et du détournement de l'irrigation.


1724 – Fin Août – Retour à Genève

Retour chez l'oncle Bernard. On cherche quelle profession enseigner à Je n Jacques Rousseau.
Premiers émois amoureux pour Mlle de Vulson et Mlle Goton.
Jean-Jacques explique qu'il est manipulé par les femmes, bafoué parce qu'il est naïf et sincère.
Premier essai d'apprentissage : chez M. Masseron, greffier de la ville :
"L'espoir de gagner force écus par une voie ignoble flattait peu mon humeur hautaine; l'occupation me paraissait ennuyeuse, insupportable… Enfin je fus renvoyé du greffe ignominieusement pour mon ineptie (…) il fut prononcé que je n'étais bon qu'à mener la lime."


1725 – Avril – Mise en apprentissage chez Ducommun (Genève)

Apprentissage du métier de graveur
Rousseau présente cette expérience comme une destruction de son éducation précédente :
Destruction morale, perversion :
"Je devins craintif chez mon maître, et dès lors, je fus un enfant perdu."
"Tout ce que je voyais devenait pour mon cœur un objet de convoitise, uniquement parce que j'étais privé de tout."
"Voilà comment j'ai appris à convoiter en silence, à me cacher, à dissimuler, à mentir, et à dérober enfin…"
Apprentissage du vol, d'abord pour les autres (Verrat), enfin pour lui-même :
* Episode des asperges
* Episode des pommes
* Autre récit de "vol" : les 7 livres 6 sols du billet d'opéra : le récit le présente comme un transfert d'argent . Il n'a pas volé l'argent, il en a "volé l'emploi".

La lecture et ses influences :
"Se nourrir des situations (…) se les rappeler, les varier, les combiner (…) se les approprier(…) je devins(se) un personnage que j'imaginais."
Refuge dans l'imaginaire :
"L'état fictif où je venais à bout de me mettre me fit oublier mon état réel dont j'étais si mécontent."


1728 – 14 Mars – Les portes fermées, le départ de Genève

Les portes de la ville de Genève sont fermées quand il tente de rentrer, un soir, avec ses camarades, après une promenade dans la campagne. Les autres décident d'attendre et s'amusent de la situation. Rousseau interprète cela comme un signe du destin. Il refuse de rentrer au matin, à l'ouverture des portes. Il décide de partir : "Je leur dis adieu pour jamais."

Fin du livre premier :
Expression d'une forme de regret : "J'aurais été …" (anaphore 4 fois)
Evocation d'une vie simple et douce : "Bon citoyen, bon chrétien, bon père…", "Au lieu de cela (…) ce triste sujet", annonce du livre II.



Livre II


* Voyage d'une semaine avant la rencontre avec Mme de Warens
"J'errai quelques jours autour de la ville", Jean-Jacques est recueilli et nourri par des paysans.

* Passage à Confignon (deux lieues de Genève). Rencontre avec le curé, M. de Pontverre.
Rousseau reste chez M. de Pontverre quelques jours.
M. de Pontverre ne songe pas à le renvoyer chez lui (ce qui aurait été logique) mais à l'en éloigner pour faire une âme catholique de plus.
Exposition des idées de Rousseau sur la morale religieuse, faussée par le fanatisme.
M. de Ponverre l'envoie chez Mme de Warens, à Annecy


1728 – 21 Mars – Jour de Pâques fleuries (rameaux) - Annecy

* Rencontre de Mme de Warens
Eblouissement, évocation d'un trouble amoureux.
Présentation de Mme de Warens :
Louise Eléonore, née avec le siècle. 28 ans au moment de la rencontre.
Mariée, pas d'enfants. S'est enfuie de chez elle, (elle a passé le lac), pour "venir se jeter aux pieds du roi Victor-Amédée, roi de Sardaigne.". Le roi est un catholique zélé.
Elle "a abandonné son mari, sa famille et son pays" et a fait abjuration au couvent de la Visitation.
Concernant sa naissance et son éducation : orpheline de mère à sa naissance, "elle avait appris un peu de sa gouvernante, un peu de son père et beaucoup de ses amants" (surtout M. de Tavel).
Plaidoyer de Jean-Jacques pour Mme de Warens dans lequel il justifie son changement de religion.
Reconnaissance du sentiment qu'il éprouve pour elle (amour, désir mais aussi inquiétude et jalousie).
Renaissance de Jean-Jacques : "Je retrouvai tout le feu que j'avais perdu chez mon maître."
Préparation de la conversion de Jean-Jacques. Il va être envoyé à Turin dans un hospice pour recevoir l'instruction des catéchumènes.
Le père de Jean-Jacques arrive pour le retrouver le lendemain de son départ pour Turin. Il se contente de pleurer sur son sort au lieu de le poursuivre (ils sont à cheval et lui à pied). Rousseau rappelle que la même mésaventure était arrivée à l'oncle Bernard à Confignon. Il y voit un signe du destin, mais propose une autre explication en ce qui concerne son père : celui-ci s'est remarié. Il a une autre famille à charge. Tant qu'il ne retrouve pas Jean-Jacques, il peut bénéficier de la part de l'héritage de sa mère. Rousseau pose alors ici le problème de l'intérêt et du devoir => l'intérêt pervertit le devoir.


1728 – 24 Mars (mercredi saint) – départ pour Turin

Fait la route avec M. et Mme Sabran. Mme Sabran "plus tranquille le jour que la nuit". Rousseau affirme encore une fois son innocence et affirme, alors qu'il dormait dans leur chambre, qu'il ne comprenait pas ce qui se passait.
Le voyage imprime chez Rousseau le goût des voyages pédestres, dont il ne se départira jamais. Il procède en cheminant à une recomposition du monde, proche d'une vision de l'Eden.


1728 – 12 avril – entrée à l'hospice de Turin (date dans le registre des entrées)

* Vers la conversion :
Suite d'évocations et de réflexions sur le sens de la démarche.
"Je fus mené à l'Hospice des catéchumènes pour y être instruit dans la religion pour laquelle on me vendait ma subsistance"
Vocabulaire mercantile pour le "commerce de la religion".
Rappel de son passé, mais examiné sous l'angle de la religion : "Je devins polisson mais non un libertin."
Réflexion sur la place de la religion dans l'éducation "La foi dogmatique est un fruit de l'éducation." et sur le rôle de l'affectif dans les manifestations religieuses.
Rousseau évoque un débat intérieur face à la conversion. A propos de la sienne : "J'allais vendre la mienne."
Analyse des deux religions. Conclusion : le protestantisme = discussion ; le catholicisme = soumission.
Rousseau se montre rétif à l'enseignement du catholicisme.
Anecdote du "Maure" : première expérience de l'homosexualité. Réflexion sur l'attitude de l'homme d'Eglise à propos de cet acte et qui en parle avec naturel.
A partir de cette anecdote, Rousseau construit un raisonnement montrant que l'attrait pour les femmes est logique.

* Conversion le 23 Avril 1728 (date du registre)
"Solennité édifiante pour le public mais humiliante pour moi."
La date de sortie de Jean-Jacques n'est pas mentionnée dans les registres : "On ferma sur moi la porte, et tout disparut.". Voir la symbolique de la fermeture des portes qui rappelle celles de la ville de Genève.

* Suite du périple
"Réduit à coucher dans la rue …" mais le sentiment de liberté est retrouvé.
"Après un long esclavage redevenu maître de moi-même."

Rousseau trouve un logis chez la femme d'un soldat, rue du Pô. Visite la ville et ses environs. Eveil à la musique. Importance de l'imagination.
Rousseau va proposer ses services de boutiques en boutiques.
Rencontre de Mme Basile, surveillée par un serviteur en l'absence de son mari.
Trouble amoureux envers Mme Basile. Episode du miroir.
Retour du mari = Jean-Jacques mis à la porte.


1728 – 25 Juillet – Entrée chez Mme de Vercellis - Turin

Placé chez Mme de Vercellis. Femme malade, atteinte d'un cancer au sein.
Principal emploi = écrire des lettres sous sa dictée.
Analyse d'une situation de concurrence avec M. Lorenzi. Rousseau évoque des gens adroits qui se sont introduits auprès d'elle. Montre que l'argent, l'intérêt brisent les relations affectives et intellectuelles, ce qui renvoie à l'histoire du père. Ces gens détournent Jean-Jacques qui pourrait être un concurrent.

Mort de Mme de Vercellis (19 Décembre 1728) : Rupture de ton dans le récit. Réflexion sur la mort et l'attitude religieuse face à la mort ; le secours de la religion. Jean-Jacques reçoit un petit pécule en héritage.
"L'affaire du ruban" " Crime" ; "Insupportable poids des remords".
Jean-Jacques a volé un ruban pendant l'inventaire de la succession. On accuse la servante Marion. Jean-Jacques ne se dénonce pas.
Suite au récit du vol, et à son explication, évocation de remords quant à l'avenir qu'il a ainsi réservé à la servante.
"Je puis dire que le désir de m'en délivrer en quelque sorte a beaucoup contribué à la résolution que j'ai prise d'écrire mes confessions.".

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